De manière générale, tous les doublons, copies, brouillons, documents illisibles ont été éliminés.
Au niveau des procès-verbaux, les ordres du jour ont été éliminés quand le P.V. concerné était présent dans le fonds.
Egalement, les fiches de salaire, certificats de maladie, primes d'assurance et candidatures aux offres d'emploi refusées.
Pour la série des demandes de locaux, un dossier concernant les demandes clairement indiquées comme ayant été refusées par l'association n'a pas été retenu, compte tenu du manque de pertinence à conserver des dossiers de présentation (de la simple lettre au volume) de personnes n'ayant au final jamais fait partie d'Artamis.
Quant au documents comptables, les factures de plus de dix ans ont été éliminées. Pour le classement de ces documents, au vu des lacunes importantes du fonds à ce niveau, trait distinctif de la gestion quelque peu chaotique d'Artamis de ce point de vue, la logique d'un plan de classement d'après les types de document (livres de compte, bilans, etc.) a été abandonné au profit d'une logique chronologique par année (le descriptif du contenu de chaque dossier est présenté à leur niveau respectif).
Enfin, pour les coupures de presse, les originaux sont conservés autant que possible et les photocopies éliminées. Cependant, certaines photocopies sont gardées lorsqu'elles sont plus complètes que les articles découpés. Ainsi, il arrive parfois que la date et le titre de la source ont été rajoutés sur la photocopie tandis que ces informations sont manquantes sur l'article en lui-même, découpé isolément du journal dont il provient. D'autre part, si la copie est en bien meilleur état que l'original, elle est conservée aux dépens de l'original. Néanmoins, certains articles ont été agrandis sur photocopie et donc rendus plus lisibles. Dans ce cas particulier, le tout est conservé tel quel.